Cet été, le surf revient aux Jeux olympiques, après des débuts à Tokyo 2020, à Tsurigasaki Beach où l’américaine Carissa Moore et le brésilien Italo Ferreira ont remporté l’or dans leurs catégories respectives. Ferreira a même cassé une planche à mi-parcours de son chemin vers la gloire !
Pour Paris 2024, les compétitions de surf se dérouleront à 15'000 km de la capitale française sur les vagues de Teahupo’o à Tahiti, un territoire d’Outre-mer de la République française.
Avec ses grosses vagues puissantes et ses récifs peu profonds, le site de Teahupo’o est considéré comme un super spot de surf. Il devrait offrir des conditions difficiles aux meilleurs surfeurs comme John John Florence, Gabriel Medina ou Caroline Marks et, à nouveau, à Carissa Moore. Ferreira ne s’est pas qualifié cette fois-ci.
L’an dernier, la World Surf League (WSL) a choisi l’Apple Watch comme « équipement portable ». L’application WSL Surfer qui y figure est synchronisée avec le système de notation de la WSL et elle délivre, en temps réel au poignet des athlètes, des informations comme les scores, les priorités sur les vagues et les horaires des séries. Il existe évidemment beaucoup d’autres montres connectées destinées au surf.
Mais, si un surfeur veut porter une montre mécanique tout en prenant les vagues – ou même doubler la mise en associant une montre connectée et une montre traditionnelle –, voici trois garde-temps qui pourraient lui convenir.
TAG Heuer Aquaracer 300 Professional Date
Même s’il ne s’agit que de disposer d’un moyen de connaître l’heure, des facteurs comme l’indice de profondeur, la qualité de construction, la lisibilité, la sensation au toucher et le confort seront tous importants pour le choix d’une montre mécanique adaptée au surf.
Avec son boîtier en acier étanche à 300 mètres, ses aiguilles et index luminescents et sa lunette crantée dodécagonale, la TAG Heuer Aquaracer 300 Professional Date coche toutes les cases. Son attrait est tel que les variantes en 42 mm et 36 mm sont respectivement adoptées par Kai Lenny et Maya Gabeira, ambassadeurs TAG Heuer et surfeurs de haut niveau.
IWC Schaffhausen Aquatimer Chronograph
Des fonctions spécifiques peuvent être utiles lorsqu’on pratique le surf. Un chronographe, par exemple, pourrait s’avérer pratique pour le chronométrage des sessions et la mesure des intervalles entre les vagues, vous permettant de contrôler votre performance et de gérer votre temps efficacement.
Cela dit, vous voudriez vous assurer qu’il s’agit d’un chrono qui peut être actionné dans et sous l’eau en toute confiance. A cet égard, la IWC Schaffhausen Aquatimer Chronograph fait parfaitement l’affaire. Le boîtier en acier de 42 mm est étanche à 300 mètres et le chronographe peut être activé dans l’eau salée sans problème.
Ulysse Nardin Blast Moonstruck
Enfin, l’information sur les marées est aussi quelque chose de pratique à avoir sous la main pendant le surf. Les heures de marée haute et marée basse affectent les conditions de vagues. La marée haute impliquant des eaux plus profondes, les vagues peuvent s’aplanir ou même, dans certains spots, se briser plus régulièrement.
En revanche, dans des zones moins profondes par marée basse, les vagues peuvent se briser de façon plus abrupte ou dans différentes directions. Comprendre ces phénomènes peut aider les surfeurs à choisir les meilleurs moments et lieux pour prendre les meilleures vagues.
La montre Ulysse Nardin Blast Moonstruck pourrait très probablement être utile à cet égard : sa phase de lune de précision s’affiche dans une ouverture circulaire, tandis que le soleil est représenté par un disque en bronzite. Avec la position en temps réel de ces deux entités par rapport à la Terre, on peut connaître intuitivement l’état des marées.
