À vrai dire, nous aimons tout ce que fait Urwerk. Les montres extravagantes, originales et compliquées sans être intimidantes, sont très confortables et carrément cool ! Trouver cinq raisons d’aimer la UR-100V LightSpeed, ou tout autre modèle Urwerk d’ailleurs, n’est pas forcément difficile : c’est un moyen amusant de revisiter la pièce et de retrouver ce qui nous séduit le plus.
Une nouvelle sorte de planétarium
Lorsque l’on pense à des planétariums horlogers, on a tendance à imaginer de petites planètes colorées, mais la Urwerk UR-100V LightSpeed offre une toute nouvelle approche de la complication séculaire. Partant du soleil, le cadran de la UR-100V LightSpeed affiche les noms des planètes avec, pour chacune, le temps qu’il faut à un rayon de lumière pour l’atteindre.
La lumière du soleil atteint Mercure en 3,2 minutes, Vénus en 6 minutes, Mars en 12,6 minutes, Jupiter en 43,2 minutes, Saturne en 79,3 minutes, Uranus en 159,6 minutes et Neptune en 4,1 heures. Pour mémoire, la vitesse de la lumière est de 299'792'458 km par seconde, ce qui donne une idée de l’immensité en question. Ces données galactiques fascinantes s’affichent sur le cadran en formant une sorte de planétarium inédit, qui suscite la réflexion et l’émerveillement.
Sans aiguilles
Comme pour toutes les montes Urwerk, les aiguilles n’ont pas vraiment lieu d’être. L’heure est indiquée par des satellites qui évoluent le long d’un arc de cercle gradué. Les premiers portent les heures, le deuxième les minutes. Lorsqu’un satellite horaire a couvert 60 minutes, le suivant fait son apparition. Ce système évoque une horloge du 17ème siècle, ce qui est hallucinant quand on y pense !
Design Space Age
Outre les indications spatiales sur le cadran, le design du boîtier est en parfaite harmonie avec le concept de la montre : la boîte en fibre de carbone noire et le fond en titane sablé, microbillé et traité DLC créent un effet particulièrement saisissant. Le verso de la montre ne déçoit pas non plus, car il offre une vue sur le rotor inspiré par les rayons du soleil.
À l’aise dans le cosmos
Le confort est rarement cité dans les communiqués de presse, mais c’est une qualité essentielle pour toute montre. J’ai trop souvent été déçue en passant au poignet une montre dont j’avais apprécié le look. Pour moi, le confort détermine le succès ou l’échec d’une montre. Tout cela pour dire que cette Urwerk porte le confort au niveau de l’art. Je ne me souviens pas d’avoir attaché une montre Urwerk à mon poignet sans avoir envie de partir avec ! Alors, essayez-les à vos risques et périls !
Un pense-bête pour rester dans le présent
L’un des objectifs de cette montre, c’est de nous rappeler notre place dans l’immensité de l’univers et de nous permettre d’apprécier les moments passés ici. Martin Frei, cofondateur d’Urwerk, explique : « La lumière, la plus petite unité d'énergie transmissible, établit un lien entre nous et l'Univers. Nos yeux sont remarquablement adaptés pour capter ses radiations électromagnétiques spécifiques. Cette capacité à visualiser et interpréter l’information redéfinit notre perception du monde. Que l’on observe les étoiles à distance ou à travers un microscope, la lumière nous transmet des informations essentielles à notre compréhension de la réalité, développant sans cesse nos connaissances sur l'univers vaste et complexe qui nous entoure »
Un autre sage, Albert Einstein, a dit un jour : « L'art consiste à se tenir debout, une main tendue vers l'univers et l'autre vers le monde, et à se laisser guider par l'énergie qui passe. » J’aurais tendance à être d’accord, mais seulement pour ceux qui portent une UR-100V LightSpeed au poignet !
