CHF 1'890, Doxa
Une des montres de plongée les plus légitimes de l’histoire de l’horlogerie moderne. Reconnaissable par son boîtier ovale, typique des années 70, elle est signée Doxa. Maison horlogère qui s’est lancée à corps perdu dans l’aventure sous-marine dans les années 60 en contribuant à la conception de la valve à hélium, indispensable en eaux profondes. Une marque qui revient aujourd’hui sur le devant de la scène en ne proposant que des montres de plongée dont la plus emblématique est la SUB 300T. Et en plus, c’est un premier prix…
SUB 300T Professional en acier, 42, 5 x 44, 5 mm, mouvement automatique avec date par guichet, bracelet en acier.
CHF 2'450, Maurice Lacroix
Pilier créatif de Maurice Lacroix, lancée en 2016, la Aikon est une montre sport-chic par excellence, portable en toutes circonstances et tout à fait abordable, Et ce, malgré un calibre mécanique visible à travers un fond saphir dont la masse oscillante est personnalisée, un cadran orange décoré du traditionnel motif Clou ce Paris et un bracelet interchangeable grâce au système Easychange pouvant ainsi passer en un clin d’œil et sans outil particulier de l’acier au caoutchouc. Disponible en trois tailles, comme ici en 42 mm, et en 39 et 35 mm.
Aikon en acier, 42 mm de diamètre, mouvement automatique avec date par guichet, bracelet en acier. Edition limitée à 888 pièces.
CHF 4'850, Breitling
Une véritable montre de plongée étanche à 300 mètres rendant hommage aux premiers modèles apparus dans les années 50 qui utilise l’orange, et pas seulement, pour deux raisons, style et lisibilité. Style avec un bracelet en caoutchouc ancré dans la tendance. Lisibilité avec une aiguille et deux index orange sur fond noir. Orange associé avec du jaune, du rouge, du vert, du bleu et du violet. L’effet de style est assuré, on se retrouve alors face à un instrument professionnel ludique jouant la carte du cadran arc en ciel.
Superocean en acier, 42 mm de diamètre, mouvement automatique, bracelet en caoutchouc.
CHF 7'400, Zenith
Superbe exemple de la mise en majesté de l’orange dans les années 70, la Zenith Defy Revival A3648. La réédition fidèle du modèle éponyme lancé en 1969 qui est devenu l’une des montres de plongée vintage les plus recherchées par les collectionneurs. Son boîtier octogonal est reconnaissable par sa couronne de remontoir située entre 4 et 5 heures. Il abrite le calibre Elite 670 automatique visible à travers un fond saphir et est monté sur un bracelet en acier à cinq maillons, identique à l’original dessiné par la maison Gay Frères.
Defy Revival A3648 en acier, 37 mm de diamètre, mouvement automatique avec date par guichet, bracelet en acier.
CHF 8'000, TAG Heuer
Un chronographe résolument moderne inspiré de l’univers automobile si cher à TAG Heuer. Le calibre manufacture TH20-00 squeletté sert de support à l’ensemble des indications, index, aiguilles, compteurs auxiliaires, petite seconde et date, et reprend ainsi le rôle du cadran en reproduisant l’esthétique de l’intérieure d’un moteur. Autre référence à la course automobile, les attaches du bracelet intégré en caoutchouc sont i nspirées des systèmes d’entrée d’air emblématiques des bolides.
Carrera Sport Extrême en titane et céramique, 44mm de diamètre, mouvement chronographe squeletté automatique avec date par guichet, bracelet en caoutchouc.
CHF 8'720, Hermès
Une nouvelle venue so chic au sein de collection horlogère de Hermès, la Cut. Un modèle inédit fidèle au style de la maison et à sa retenue. Son boîtier minimaliste, au premier abord rond, ne l’est en fait pas vraiment puisque légèrement coupé sur les bords. Il se décline en différentes versions dont celle-ci en or rose et acier, montée sur un bracelet interchangeable en caoutchouc. Un choix qui n’est pas lié à la tendance mais qui correspond à une véritable tradition puisque l’orange est la couleur signature de Hermès depuis toujours.
Cut en or rose et acier, 36 mm de diamètre, mouvement automatique, bracelet en caoutchouc.
CHF 11'900, Bell & Ross
Parmi les modèles les plus extrêmes de Bell & Ross, la BR-X5 dont le boîtier multi-composants abrite un mouvement manufacture à toutes épreuves. On parle ici deux plaques de fibre de carbone qui enserrent un bloc en titane, lui-même abritant le calibre BL-CAL.323. Une mécanique de haut vol à remontage automatique et offrant une réserve de marche de 70 heures. Il aurait été dommage de ne pas protéger ce calibre par l’utilisation d’un joint orange positionné entre carbone et titane. Le tout assorti au bracelet en caoutchouc.
BR-X5 en fibre de carbone et titane, 41 x 41 mm, mouvement automatique avec indicateur de réserve de marche et date traînante, bracelet en caoutchouc.
CHF 26'900, Hublot
C’est Hublot qui a été la première manufacture horlogère à proposer de la céramique orange. De quoi créer l’évènement et plonger à 1 000 % dans la tendance du moment. Ce chronographe est animé du calibre manufacture Unico 2, ici squeletté, sur lequel évoluent index, aiguilles et compteurs et offrant une extrême lisibilité. Ce qui n’est pas toujours le cas pour les montres squelettes. Un instrument professionnel monté sur un bracelet en caoutchouc interchangeable en un clin d’œil grâce au système One Click breveté par Hublot.
Big Bang Unico en céramique, 42mm de diamètre, mouvement chronographe squeletté automatique avec date par guichet, bracelet en caoutchouc. Edition limitée à 250 pièces.
