ARCEAU Belles du Mexique

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ARCEAU Belles du Mexique © Hermès
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Une ode à la joie et au mouvement. Un cadran où le temps danse et donne vie à l’impertinente et colorée Arceau Belles du Mexique

De toute danse, on retient deux choses : le mouvement et le rythme. La montre Arceau Belles du Mexique rend hommage aux femmes et aux hommes qui perpétuent la tradition de la danse du chapeau. Originaire du Jalisco, cette région du centre du Mexique qui plonge dans les eaux chaudes du Pacifique, elle met en scène ces danseurs reconnus pour la relative immobilité de leur buste tandis que leurs pieds se livrent à une chorégraphie effrénée. On les aperçoit, vus d’en haut, sur un carré de soie Hermès édité en 2017. Le dessin, virtuose, célèbre la danse, le mouvement et la liesse.

ARCEAU Belles du Mexique © Hermès
ARCEAU Belles du Mexique © Hermès

La montre Arceau Belles du Mexique met ce carré dans un rond, une boîte en or blanc de 38 millimètres de diamètre. On y retrouve l’agilité des danseurs : sept d’entre eux, disposés autour des heures et des minutes, sont mobiles et tournent librement grâce aux mouvements du poignet. Hermès, horloger chorégraphe, offre un spectacle qui conjugue la maîtrise des corps avec une totale liberté d’expression — la définition même d’une chorégraphie dont le geste est codifié et que chaque danseur exécute selon sa sensibilité. Cette ronde libre et colorée se dessine autour d’un cercle de 23 diamants au centre duquel se placent les heures et les minutes.

Ces danseurs, à l’image des sept autres, immobiles, qui les entourent, sont entièrement réalisés à la main. Leur relief est créé par des couches successives de peinture déposées une à une. Les quatorze danseurs sont ensuite appliqués sur la base d’un cadran peint. 

ARCEAU Belles du Mexique © Hermès
ARCEAU Belles du Mexique © Hermès

Les sept personnages centraux sont montés sur un axe libre qui les fait virevolter au moindre geste. Les sept autres viennent embrasser la lumière d’une lunette sertie de 82 diamants. Ils sont les spectateurs immobiles d’une scène centrale où la danse du chapeau dispute à la danse du temps le privilège d’égrener les heures et les minutes. Sous la scène bat un mouvement automatique qui charge perpétuellement la montre d’une énergie nouvelle. Le poète Virgile avait raison : « L’esprit imprime son mouvement à la matière. » 
 

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