Un nombre qui ne doit rien au hasard : 432 Hz est considéré comme la fréquence parfaite, celle qui apaise, la fréquence de l’harmonie absolue. La première création offre un cadran noir sur lequel se détachent les oscillations de fréquence que les artistes suivent en studio sur leur console, en bleu profond évoquant les sets que The Avener donne au cœur de la nuit. La seconde est d’un noir intégral où les mêmes oscillations se distinguent par un subtil jeu de reliefs et de finitions, suivant un motif circulaire. Chaque montre porte la mention chère à l’artiste, « a tempo », ou reprise de rythme.
La Maison Frederique Constant et The Avener étaient faits pour se rencontrer. D’un côté, la collection Highlife. Depuis son retour sur le devant de la scène en 2020, elle séduit une jeunesse pop et urbaine, calée sur le tempo d’une horlogerie suisse de précision, parfaitement finie et à un prix juste. Une pièce moderne, dotée d’un bracelet interchangeable intégré et d’un design fin et subtil capturé par une boîte en acier de 39 mm.
De l’autre, The Avener. Avec plus d’un million d’albums vendus dès son premier opus, l’artiste s’est imposé en un temps record sur la scène électro. Éclectique, puisant son inspiration au plus profond du blues comme au son de la house moderne, The Avener, 36 ans, a déjà plus de 20 ans de métier. Un musicien et producteur phare, celui de la génération Highlife.
Deux éditions limitées exclusives
Aujourd’hui, deux modèles édités à 432 exemplaires chacun célèbrent cette amitié horlo-musicale. Un nombre qui ne doit rien au hasard : 432 Hz est considéré comme la fréquence parfaite, celle qui apaise, la fréquence de l’harmonie absolue. En leur sein bat le calibre automatique FC-303. Visible côté fond par un verre saphir antireflet, il offre 38 heures de réserve de marche. Côté cadran, trois aiguilles et un guichet de date battent la mesure du temps. La mention « a tempo » coiffe ce dernier. Chère à The Avener, elle exprime sur une partition la reprise du tempo normal après une parenthèse plus rapide ou plus lente – une reprise de rythme en BPM, ou Battements Par Minute, diront plutôt les DJ à propos de leurs tubes.
Chaque cadran en traduit les oscillations, tel qu’elles sont suivies sur les moniteurs des studios. Sur la première pièce, elles traversent de part en part le cadran de la Highlife, en bleu sur cadran noir. Cette couleur revêt une signification bien particulière pour The Avener : le bleu de son premier album, un succès planétaire porté par le single Fade Out Lines. La création semble capturer un fragment de sa musique, quelques mesures de partitions. Un cadran qui associe le rythme du musicien et producteur à celui de la mécanique suisse de précision.
La seconde pièce est celle des sets nocturnes : bracelet noir, boîtier noir DLC*, cadran noir, revêtement luminescent noir, guichet de date sur fond noir. Seules les aiguilles et les index s’en détachent pour battre en rythme. Les oscillations sont ici concentriques, en partant du centre – clin d’œil à la finition soleillée chère à la manufacture genevoise. Elle est symboliquement détournée par The Avener au profit d’une finition électro où seuls émergent, en relief et brillance, les curseurs des oscillations.
Un écrin paré pour la route
Chaque pièce est fournie avec deux bracelets interchangeables sans outil, la première avec un combo acier ou caoutchouc noir, la seconde avec caoutchouc ou nubuck, tous deux noirs.
Quant à son écrin, il s’agit d’une création originale spécialement conçue pour ces séries limitées. Il s’agit de la reproduction fidèle d’un flight case, la valise à matériel que tous les musiciens emportent au fil de leur tournée. Renforcé de toutes parts, le flight case est emblématique de concerts, de l’atmosphère backstage, du matériel le plus précieux. C’est là que prend place la Highlife de l’artiste, au centre d’un intérieur noir avec, de part et d’autre, le bracelet supplémentaire ainsi que la plaquette d’édition limitée.
* Le DLC, ou Diamond Like Carbon, est un procédé chimique de dépôt de matière sur la surface de la montre, à base de composé de carbone similaire au diamant. Il lui donne un aspect noir mat intégral en même temps qu’il protège la montre des chocs et rayures du quotidien. Le DLC est donc autant un revêtement esthétique que technique et fonctionnel.
